• LETTRES de Vincent à Théo.

    Leur fraternité, leur serment de fidélité.

    Les heurts, les joies partagées ainsi que les échanges sur l'art, rencontres avec les artistes de leur époque.

    Vincent attend trop des autres pour ne pas se rendre insupportable, et sa correspondance est le seul exutoire laissé à son besoin de communication extrème. Il n'écrit pas pour lui, encore moins pour faire carrière d'écrivain, mais pour se faire comprendre, faire partager ses idées sur la peinture, la littérature, le mêtier d'artiste. L'écriture permet de protéger ses correspondants, en particulier Théo, ce frére si compréhensif, de la violence qui fait échouer toute tentative un peu suivie de communication directe.

    Cet ensemble épistolaire constitue une autobiographie. Aucun motif de joie ou de souffrance n'est occulté, puissance dramatique, durant les derniers mois, période de ses internements. Elles font sentir, dans la retenue et la pudeur, la tragédie d'un homme parfaitement lucide. Il voit sombrer ses forces physiques et mentales, anéanties par l'effort acharné, la lutte de tous les jours exigée par l'invraisemblable mêtier de peintre.

     

    1 / Le travail du peintre, efforts, sensibilité

    2 / A charge pour sa famille, incertitudes

    3 / Solitude, difficultés sociales

    4 / Mélancolie

    5 / Ambition

    6/Folie, fatalité

    7/ Séjour à Arles

    8 /Séjour à St Rémy

    9/ Articles des Critiques d'Art

    "Lettres à son frère Théo"Les Cahiers rouges. 1ère édition 1937.

    Témoignage d'une existence vouée à la peinture.


    EXTRAITS Dernières Lettres

    Auvers- sur- Oise

    1 / 20/05/1890 à Wil

    2 / 21/05/1890 à Théo et Jo

    3 / 25/05/1890 à Théo et Jo

    4 /05/1890 au critique Isaacson, les impressionnistes

    5 / 21/05/1890 à Théo, le docteur Gachet

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    EDITIONS Mille et une nuit