• Vincent VAN GOGH
  • Biographie 4

 

Le temps.....................de la découverte

"Je ne saurais te dire combien je me sens heureux d'avoir repris le dessin... Tout en sentant et ma faiblesse et ma dépendance pénible de bien des choses, j'ai retrouvé mon calme d'esprit, et l'energie me revient de jour en jour..." Vincent travaille en copiant des gravures que lui envoie Théo.

Retour à Etten.

1881. Kee Vos Stricker, Kate, sa cousine est veuve depuis peu et vient à Etten quelques semaines. " Je veux te confier ce que j'ai sur le coeur. Je suis follement a moureux de K. Quand je lui ai fait ma déclaration, elle m'a répondu que son passé et son avenir demeuraient toujoutrs indivisibles pour elle, qu'elle ne pourrait donc jamais partager mes sentiments. " "Ma mélancolie s'est envolée ; je me suis découvert un regard neuf sur toute chose, et ma puissance de travail s'en est trouvée décuplée. "éconduit par K il se jette dans le travail.

La haye

Il présente ses dessins et décide de s'installer à la Haye.Théo lui alloue 100 florins par mois pour y vivre et peindre. Il dessine d'après des plâtres, et d'après des modèles qui viennet poser dans son atelier. Il rencontre aussi d'autres peintres.

Sien.

"Lorsque j'ai rencontré cette femme, elle avait attiré mon attention par son regard souffreteux... Je l'ai engagée comme modèle et j'ai travaillé avec elle tout l'hiver. Je n'avais pas les moyens de lui payer un salaire complet de modèle; je lui ai payé l'équivalent de son loyer et, Dieu merci, j'ai pu la préserver jusqu'à présent, de même que son enfant de la faim et du froid, en partageant mon pain avec elle. Elle est de ces pauvresses qui lui paraissent ses "soeurs par leur situation sociale et leur expérience de la vie." "Au début elle ne savaitpas poser, mais elle a fini par apprendre ; si ja'i fait des progrés, c'est que j'avais un bon modèle à dessiner."

Il souhaite l'épouser, reconnaître son enfant et accepter la naissance du second. Il déménage. S famille ne le soutient pas. Il quitte Sien en 1883, redoutant qu'elle ne retourne au trottoir.

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